La rencontre de Orbs, l’autre Planète, avec la Nouvelle République du Centre. Un grand article pour présenter la revue…
La révolution de l’édition autour de la planète Orbs
Un livre-magazine, une maison d’édition, une nébuleuse de signatures, Orbs débarque pour enrichir les âmes.
Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. François Rabelais serait-il prophète en son pays ? A Amboise, une poignée de passionnés ont décidé de passer au concret en créant une maison d’édition et un rendez-vous livresque sur les arts, les sciences, l’humanité et la conscience.
Un livre vivant de rencontres humaines
Des peuples premiers à l’intelligence artificielle en passant par la science-fiction, l’art dans le monde ou la cosmologie, Orbs est « une revue d’aujourd’hui, croisant les cultures, les disciplines et les générations », explique Maxence Layet, directeur et fondateur de cette revue qui fait référence à l’ancienne revue Planète. « L’idée, c’est de faire le Planète d’aujourd’hui. »
Le concept a mûri il y a plusieurs mois, mais il fallait créer une maison d’édition. De rencontres en savoir-faire, Orbs (Orbital en abrégé) est né autour d’une dizaine de personnes. Maxence Layet apporte son expérience de journaliste scientifique, de communicant et d’écrivain spécialisé dans les nouvelles technologies et la vulgarisation scientifique. Tout le côté financier et juridique est dévolu à Olivier Lepelleux dirigeant de la Maison de la presse d’Amboise.
Mais dans l’équipe, on retrouve aussi quelques têtes bien connues du monde littéraire, comme Martine Le Coz. La romancière est enthousiasmée par « la rencontre entre tous ces courants, ce creuset, cette marmite » où se croisent des influences, des cultures, des informations.
De fait, Orbs est un ouvrage inclassable, libre avec les idées. « C’est un livre vivant fait de rencontres humaines », explique Maxence Layet alors que Martine Le Coz surenchérit : « Il dégage une énergie positive ». En ce moment, c’est bien venu !
Le premier numéro, tiré à 2012 exemplaires, parle de cycles du soleil, des femmes peintres du Mithila, du nucléaire, du code secret de Jésus ou encore de la roue du temps. Il contient des textes de René Barjavel, de Maji-Da Abdi et une rencontre avec le professeur Luc Montagnier. Un prix Nobel sera ainsi interviewé dans chaque numéro.
On mise sur la qualité. « C’est un contenu de référence qui tire les gens par le haut sans être intello », ajoute Maxence Layet. Une douzaine ou une quinzaine de sujets seront abordés par numéro. Il est prévu quatre livres par an.
Si Orbs est en partie amboisien, il est aussi national puisque le site web est à Nîmes, la maquette est faite à Toulouse, le spécialiste de la psychologie est à Paris. Quant aux auteurs, ils changeront d’un numéro à l’autre suivant la cohérence du projet, toujours dans cette démarche d’humanisme et d’universalité.
Avec plus d’une quarantaine de calendriers à travers le monde, des ères qui divergent au gré des cultures, des cycles qui se chevauchent et ne s’assemblent pas, l’histoire humaine est faite de différents temps. Ils ont été tissés, gravés, peints ou sculptés par les artistes et les artisans qui ont su les saisir au vol. Petite balade dans la plus invisible des dimensions
Extrait de Orbs, l’autre Planète #0, Le commencement
Depuis quelques années, notre soleil a un comportement déroutant. C’est ce qui semble bien intriguer les scientifiques qui observent avec la plus grande vigilance les fluctuations de ses rythmes, de ses taches, éruptions
et autres projections d’énergie
Extrait de Orbs, l’autre Planète #0, Le commencement